Le constat est sans appel. Il faut en moyenne patienter 61 jours avant d’obtenir une consultation avec un spécialiste. Face à ces délais bien trop conséquents, Deuxième avis propose d’obtenir un second avis de la part d’experts en cas de pathologies graves.
Avoir une réponse à vos interrogations dans les meilleurs délais
Vous ou l’un de vos proches souffre d’une maladie grave, tels le cancer du sein ou la maladie de Crohn. Les recommandations du médecin vous laissent perplexe et vous souhaitez un deuxième avis rapidement ?
C’est le pari fait par ce site, qui vous propose de simplifier vos démarches et d’avoir accès à un deuxième avis sous 2 à 7 jours.
Vous vivez en zone reculée et faites face à une véritable désertification médicale ? Afin d’éviter des dizains de kilomètres pour un nouvel avis, des experts sont là pour vous conseiller. Gain de temps, accès facilité, mise en place d’un véritable échange… Que demander de plus ?
Des professionnels à votre service
Les médecins qui répondent à vos questions exercent tous en France et sont inscrits au Conseil National de l’Ordre des Médecins. De véritables spécialistes reconnus aussi bien au niveau national qu’international sont donc là pour vous aider.
Mais, un deuxième avis, est-ce vraiment utile ? A priori oui, car aujourd’hui, 25 % des interventions chirurgicales seraient superflues et nombre d’entre elles pourraient être évitées grâce à un deuxième avis d’après Pauline d’Orgeval, cofondatrice du site. Ainsi, obtenir un deuxième avis
Et si votre diagnostic – ou celui de l’un de vos proches – a déjà été établi, vous pouvez découvrir les fiches informations répertoriées sur leur site, classifiées selon les types de pathologies.
Combien ça coûte un deuxième avis ?
Pour cet acte, il vous faudra débourser 295 €. Alors oui, ce sont des frais onéreux, le concept a d’ailleurs été vivement critiqué lors de son lancement.
Mais les trois entrepreneuses à l’origine de Deuxième Avis ne se sont pas reposées sur leurs lauriers. Cet acte est désormais pris en charge par les complémentaires santé et, selon Pauline d’Orgeval, il est également en bonne voie d’être remboursé par la Sécurité Sociale.