Les Franjynes, c’est la véritable alternative à la perruque en cas de perte de cheveux. Une frange, un turban et un sourire : c’est ainsi que la journée peut commencer grâce aux Franjynes. Julie, la créatrice de la marque, est la preuve que la maladie peut donner naissance à de formidables projets. Décryptage.
Le vécu au service des Franjynes
À seulement 27 ans, Julie apprend qu’elle est atteinte d’un cancer du sein de grade III. Sa perte de cheveux (ou alopécie) étant inéluctable, elle doit acheter une perruque. Néanmoins, elle ne réussit pas à la porter car elle a « l’impression chaque matin d’enfiler un bonnet ». Une sensation usuelle à toutes les femmes lui manque : se coiffer. Aussi commence-t-elle à nouer des turbans accompagnés d’une fausse frange. Son imagination et sa créativité lui permettent ainsi d’imaginer 7 nouages différents, le nouage lui permettant de retrouver cette sensation qui lui manque tant. Et ce n’est pas qu’un banal accessoire de mode : le nouage quotidien a clairement une vertu thérapeutique.